Face au mur, je me sentis frustrée qu'il en soit plus en moi, comme un vide qui aurait du être comblé. Sa main passa entre les cuisses me guidant pour que je le laisse venir encore en moi, et prendre notre plaisir à tous les deux. Me cambrant vers l'arrière, je lui laissais la place qui était la sienne, gémissant encore et encore sous les coups de reins et les caresses linguales qu'il m'offrait sans égoïsme. Ma main claqua contre ses fesses et je le guidais, lui donnant le rythme que je voulais de plus en plus puissant, de plus en plus fort en moi. Sa respiration dans mon cou, me faisait trembler, ses mains à mes hanches, me donnaient la fièvre et je finis par lui avouer que j'allais venir, lui demandant de voyager avec moi vers les contrées qui n'appartenaient qu'à nous. il mordit mon épaule et je posais mon front sur le carrelage humide, profitant d'un dernier mouvement pour trembler littéralement de jouissance contre lui.  Il était impossible de me tenir sur mes jambes et je restais un moment entre le mur et lui, afin de profiter au maximum de mon orgasme puissant.
Essoufflés, nous nous mîmes à sourire, finissant notre douche avant de nous enroulés nus dans la couette pour nous jeter sur le lit.

"Celui là, au moins, il ne grince pas comme chez toi !"

je relevais ma tête vers elle, arrêtant mes baisers enflammés sans pour autant me stopper mes mains.

"Ce soir, c'est ton soir, on aura tout le temps d'apprendre pour mon plaisir...cette nuit, durant une petite heure, je ne veux qu'apprendre à ton corps à aimer...Laisse toi, faire, ressens et apprécie..."

Ma tête retomba sur sa poitrine, dégageant celle-ci avec mon autre main pour aller embrasser ses pointes directement à la source. Ma langue débuta une danse en rond, rappel à ses excroissance de chair si sensibles et puissant en jouissance. La chair des seins est tendre et délicate, elle sembla apprécier et je ne me plu à lui mordiller, appréciant les soupires et les tensions de ses doigts sur ma peau, repères qui ne mentaient jamais lorsqu'on fait une danse lascive avec une partenaire. Je délaissais sa poitrine arrondie pour un temps, remontant le long de son buste pour atteindre son cou, je voulais tout explorer et prendre le temps qu'elle soit accueillante et non stressée pour la suite des évènements. Après une petit coup d’œil, je pus constater que ses lèvres étaient plus rouges, ses joues prenaient une teintes rosées sous la chaleur que je lui provoquais.

"tu as peur ?"

Cet orgasme fut foudroyant, certainement poussé par la peur que j'avais ressenti durant ces quelques heures. C'était idiot, mais retrouver des portables au bord de l'eau, c'était foutrement terrifiant. Elles auraient pu être tombées dans l'eau ou pire, enlevées, violées ou tuées. Des scénarios monstrueux qui me faisait frissonner de violence et de peur. On resta un moment sans bouger, tous deux engourdies par le plaisir ressenti. Après la douche, on se retrouva sur le lit et c'est franchement que je riais avec elle.

Ouais, je dois mettre de l'huile... J'y pense jamais et je pense qu'au fond, j'aime le bruit de mon lit. Il m'a suivit pendant des années.

Je caressais son visage alors que nous étions face à face. On commença à parler légèrement, puis, on se confia pendant une heure jusqu'au moment où on arriva sur mon père.

Ouais, il est endetté. Mais c'est de ma faute. J'aurais pu faire une université dans le coin, comme mes potes mais... vu que j'étais un vrai petit merdeux à l'époque et que j'avais une consommation plutôt indécente de la drogue, mon père a préféré m'éloigner. Et il s'est ruiné pour m'envoyer à la FSU. Il a fait un crédit pour payer l'avion, des vêtements, une voiture...Déjà qu'on roulait pas sur l'or a cause de son magasin qui n'est pas top top dans ce petit village. Mais là... c'est vraiment tendu. Enfin, il s'en sortira même si je sais que mes premiers salaires, ils seront en grande partie pour lui. Et même si pour cela, je dois dormir sous un pont. Je lui dois tout à mon père, toute sa vie n'a été que sacrifice pour satisfaire mes désirs. Des fringues de marques, de l'argent pour les soirées, le ciné, les sorties... L'école, manger... J'étais pas si respectueux que ça, enfin j'étais pas un connard mais... Mon pauvre père, j'aurais dû plus le protéger. Enfin, sa roue tournera vite, j'en suis certain. Je ferais tout pour. Et toi... parle-moi de toi!

Il ne voulait pas me dire, j'étais la seule à recevoir des attentions et même si j'en étais comblée, j'avais l'impression d'être égoïste. Lui aussi méritait de soupirer comme il le faisait. Seulement, je ne pus rien dire que ma poitrine fut dénudée et sa langue me fit décoller. Des frissons remontèrent le long de mon échine, faisant recourber mon duvet. Mon dos se cambrait, mon corps réagissait sans que je ne lui dicte quoi faire, c'était instinctif. Mes doigts serraient par moment sa peau sous la puissance d'un frisson ou d'un ressenti. Il remonta jusqu'à ma nuque, m'offrant ses yeux parfaits et j'étirais un sourire en hochant légèrement de la tête. Ce n'était pas une peur paralysante, mais une petite crainte passagère, celle qui accompagne toutes les premières fois.

Je ne veux pas arrêter...

Je me devais de le rassurer, qu'il comprenne que ma peur n'était pas une barrière, bien au contraire. D'une main, je l'attirais à mes lèvres avides pour un baiser, osant malgré tout toucher son propre corps. De ses bras certes fins mais pourtant musclé, à son dos. Du bas de ses reins à ses fesses, jusqu'à son ventre où mes mains osèrent rentrer dans le vêtement pour un contact direct. Chair contre chair. Son tee-shirt disparu, m'offrant ses nombreux tatouages et je sentis mes pointes toucher sa peau chaude.

J'adorais l'entendre parler, rien que sa voix me faisait trembler de désir. J'étais amoureuse, tout simplement, folle amoureuse de son côté bad boy à sa fragilité qu'il ne montrait qu'à moi. je me doutais bien que son père avait des soucis, mais je n'imaginais pas à quel point et lui non plus. Si nous avions été plus attentifs en arrivant on aurait peut être vu les enveloppes sur le bureau de son père, des enveloppes avec des tampons d'huissiers qui allaient venir saisir la maison, le magasin, enfin tout. Mais là n'était pas le moment de penser à tout cela.

"j'adore ton père, il est adorable et on sent tout de suite qu'il t'aime...tu étais jeune, on a tous fait des bêtises, enfin toi et Rob...je suis plutôt sage comme fille. Et j'étais solitaire et renfermée avant toi. Je ne sais pas trop quel sort tu m'as lancé, mais je ne le regrette pas. Mais si tu veux tout savoir, si je me suis renfermée, comme ça, c'est que j'ai toujours eu l'impression qu'il me manquait une chose dans ma vie et ça a été pire encore avec le divorce de mes parents. je ne suis pas macabre de naissance, mais la noirceur de mon âme m'était nécessaire pour me protéger, tu vois ? En réalité, le monde m’effraie. ou plutôt il me faisait peur avant. J'avais peur d'avoir mal de souffrir inutilement et je crois aussi que j'ai toujours vu le monde différemment des autres. Ce n'était pas un choix d'être marginale, juste que je ne voulais pas être comme tout le monde. Avec toi, je me sens unique...je me sens capable de tout affronter et de tout faire, mais si un jour tu me quittes, parce que je suis bien placée pour savoir que l'amour ça peut se finir...je sais que ne m'en remettrais pas. je ne veux pas t'enfermer, ni te mettre la pression, mais je pourrais plus revenir celle que j'étais et sans toi, je ne pourrais plus être celle que je suis maintenant....tu vois ?"

J'étirais un sourire à ses paroles. Elle avait ce don, me rassurer, me faire plaisir et faire remonter mon estime de moi. Elle me parla un peu d'elle, et je fus heureux d'en savoir un peu plus sur la mystérieuse Madeline, celle qui avait touché mon coeur de pierre et de connard. Se cacher derrière une apparence, je connaissais ça pour avoir simulé le mec blindé alors que j'étais fauché. Ses dernières phrases me touchèrent, moi j'avais connu des filles, j'avais eu une histoire d'amour catastrophique sur la fin et cette connasse d'ailleurs en était une vraie. Mais j'avais vécu, comme Rob. Maddie et Prunille étaient deux filles innocentes, n'ayant jamais connu d'hommes et j'avais plus la crainte que ce soit elle qui parte que le contraire. Seulement, je ne voulais pas tenir des promesses que je ne pourrais pas tenir.

Je pourrais te promettre de rester toute ma vie avec toi. Seulement, je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve et même si je crains que ce soit plutôt toi qui un jour, voudra savoir ce qu'est la vie. après tout, je suis ton premier et tu voudras certainement voir comment c'est ailleurs. Je ne t'en blâmerais pas, même si j'aurais mal. Je ferais tout pour te retenir, pour te garder à moi. Mais je sais qu'obliger une personne à aimer, c'est mal. Ce que je sais là, actuellement. C'est que je suis heureux, que je veux te rendre heureuse. Et si c'est jusqu'à ce qu'on soit moche et ridé tant mieux... Sinon, et bien... on verra.

Je déposais un baiser sur son front avec un sourire.

Tu m'as changé toi aussi. Je suis plus souvent Beau que Wyatt lorsqu'on est à Chicago. Beau n'est pas un connard, un mec qui se bat pour rien, qui se drogue énormément. Bon je l'ai été mais c'était avant. Pendant une sale période. Je sais pas pourquoi j'suis comme ça là-bas... Peut-être l'image d'un irlandais qui n'a voulu être l'irlandais de service mais un mec comme tout le monde.

Je levais une épaule.

Ensemble, on est plus fort et on est bien. Le reste, on s'en fou même si... je m'excuse d'être aussi... jaloux et possessif avec toi. C'est juste que... je ne veux pas te partager avec quiconque.

J'avais la chance, presque l'honneur d'avoir une petite amie comme elle. Prunille était une petit ange dont je devrais prendre soin et j'allais faire de sa première fois un moment inoubliable.
Ses mains sur ma chair me firent frisonner, faisant redresser mon duvet sur mon corps et me procurant des sensations agréables. J'avais envie de l'entendre gémir, soupirer, sentir son désir de moi, me poussa vers l'avant, mais je me devais de freiner mes ardeurs afin de ne pas non plus aller trop vite en besogne. Elle dévoila à ses yeux mon torse un peu dessiné et tatoué, sa bouche trouva sa jumelle et ne me fit pas prier pour me lancer dans un combat ardent avec sa langue humide, prémices à notre accouplement prochain. Pendant que je jouais avec sa bouche, ma main d'un geste habille, tira sur la ceinture de son peignoir ouvrant celui ci pour frotter mon corps à demi nu sur le sien à ma merci. Elle semblait si petite sous moi. Ma main continua son chemin, me soulevant un peu pour la laisser passer entre nous et glissant sur son ventre avec lenteur pour atteindre son sexe déjà humidifié par mes attouchements. Mon index se fraya un passage entre ses lèvres et je le fis bouger sur son bouton de chair rosé, recueillant son gémissement dans ma bouche. Ce simple soupire, me fit vibrer tout entier et cela ne me donna que plus de vaillance dans mon geste voué à lui donner de la jouissance. Elle se cambra sous moi et je continuais à lui donner des vas et vient, allant de plus en plus bas pour atteindre sa cavité de velours, m'enfonçant un court instant avant de poursuivre mon geste.

Bientôt, mon corps fut totalement démuni du peignoir qui certes, ne cachait plus grand chose de mon anatomie. Il ondulait au dessus de moi, mouvement que je savais être ceux que nous aurions une fois lui aussi débarrasser de son jean encombrant. Je sentais la dureté de son entre jambe frotter contre moi, faisant monter le rouge à mes joues, non de gène mais de désir et d'impatience mêlés. Lorsque son doigt entra en contact avec un lieu inexploré, je ne pus retenir mon gémissement dans sa bouche alors qu'on s'embrassait avec fougue. Ces vibrations provoqués par ce doigt mutin et assassin, faisant augmenter ma température corporelle mais surtout, me faisant entrevoir ce qu'était que l'accouplement entre un homme et une femme. La technique était vraiment différente de la pratique et je pouvais le dire aisément, je prenais plaisir à ces attouchements. Lorsque son doigt osa entrer, ce fut étrange mais pas déplaisant. Mes dents mordirent ses lèvres sous la passion et le plaisir ressenti, des frissons, des tremblements qui s'entrechoquaient dans mon esprit.

Oh... C'est bon... Hmh...

Je gémissais, je grognais, je bougeais, je serrais ce que j'avais à ma portée. Sa peau, son jean, le drap. Tout ce qui se trouvait sous mes doigts subissaient mon plaisir. Ma tête pivoté sur le côté, me mordant la lèvre violemment. C'est indéfinissable, mais foutrement bon.

J'embrassais sa main que je gardais contre ma bouche le laissant continuer à me dire ce qu'il avait sur le coeur. oui, on ne savait pas ce que l'avenir nous réservait, mais si on s'aimait vraiment, rien n'arriverait à casser cela. Enfin, je le pensais.

"Tu es tout sauf un con, possessif et jaloux...Et même si tu l'es...c'est de ça que je suis tombée amoureuse. je ne veux que ton bonheur et même si j'aimerais que tu arrêtes la drogue, parce que cela n'est pas bon pour toi et que ça peut te faire du mal, et bien...j'attendrais que tu sois prêt et le jour où tu le seras, je t'aiderais de tout mon coeur, et je te soutiendrais. il faut que tu es confiance en moi, même si un mec vient me parler...je saurais le repousser, s'il va trop loin et si je n'y arrive pas, et bien là, tu peux intervenir. Je suis peut être un brin naïve, mais je ne suis pas une petite chose fragile, j'ai réussi à survivre sans toi avant et je t'ai bien repousser lorsqu'on n'était pas ensemble. Ais confiance...j'en ai besoin, mais je serais aussi être patiente, parce que je ne veux pas te changer. Je t'aime et je veux vieillir avec toi, avec une famille et on a tout le temps pour ça...on a tout notre temps."

je me lovais contre lui, posant ma tête sur son torse, j'étais épuisée, après toutes ses émotions et notre séance de sexe, j'avais envie de me reposer et entendre les battements de son cœur était apaisant.

Elle était parfaite. Je ne pourrais jamais trouver une fille mieux qu'elle, j'en étais certain. Mon sourire fut ma réponse, et je me contentais d'un long et fort baiser sur son front, caressant son dos avec douceur alors que je la laissais se lover contre moi. Elle avait besoin de dormir, avec les émotions ressentis, j'étais claqué. Fermant les yeux, je tendis le bras pour éteindre la lampe de chevet et au creux de son oreille, je soufflais ces trois petits mots, accueillant Morphée comme un frère.

La sentir ainsi sous moi, répondant avec tellement d'innocence me rendait encore plus empressé de m'unir à ma petite prune. Mes mouvements s'accélèrent, la sentant sous moi, devenir fiévreuse, je sentais l'humidité monter en elle, rendant mon doigt encore plus glissant contre sa chair. J'allais jusqu'à lui donner une extase, la sentant vibrer sous moi, et la rendant encore plus désirable qu'elle ne l'était déjà. Il faut être un homme pour comprendre combien la jouissance d'une femme peut rendre fier et empressé. Me redressant, je la laissais sur le dos complétement cotonneuse et les yeux vitreux. Je profitais de ce moment pour me lever et retirer mon jean, m’asseyant sur le rebord du lit pour enfiler une protection. Elle se releva, posant ses mains sur mes épaules et embrassant celles-ci ce qui me fit me tourner la tête.

"Je t'aime...Prunille...comme un dingue, je crois que tu n'as pas idée de combien, je t'aime"

Elle sembla heureuse de mes paroles et je lui souris, la renversant à nouveau sur le lit et faisant de même en nous recouvrant de la couette pour ne pas prendre froid. Posant mes bras le long de son visage, je lui souris, la rassurant par quelques paroles avant de relever sa cuisse guidant ma virilité en elle avec douceur, mais fermeté pour ne pas qu'elle souffre trop longtemps. Petite grimace de déplaisir sur son beau visage, ses mains se fermèrent contre ma peau et je l'embrassais doucement, poussant jusqu'au bout et sentant l'étroitesse de son vagin contre mon membre. Elle était chaleur, velours et plaisir à la fois. Lentement, je débutais mes vas et vient, le silence seulement brisé par les bruits de notre union.

La sensation que je ressentis fut violente, si étrange et si bonne. Cette contraction de l'intérieur, ce feu ardent qui monte jusqu'au cerveau pour nous rendre à l'état de béatitude et de flottement. J'avais l'impression d'être légère, si bien que je ne sentis pas de suite Rob me quitter. C'est le froid qui me fit tourner le visage vers ses fesses qui se posèrent sur le lit, curieuse, je ne pus que le voir recouvrir son membre d'un préservatif. En le voyant ainsi, sa virilité dévoilé, j'avais crainte qu'elle ne passe pas. Pourtant, je déposais un baiser sur son épaule et les mots qu'il eut me firent sourire. Il m'aimait, il me le disait et c'était encore plus enivrant. Je me retrouvais sur le dos, alors qu'il se plaçait au dessus de moi, nous protégeant de la couette. J'avais un peu peur et à la fois, j'avais hâte qu'il vienne en moi pour connaître la sensation. pour me vanter également de ne plus être cette gamine et d'être fière d'avoir passé le cap. Il me rassura et je me perdais dans son regard, sentant sa main remontée ma cuisse et son membre au bord, prêt à passer. Il força et le passage était douloureux, je ne pus retenir une grimace. Mes doigts serrèrent sa peau, alors qu'il commençait à bouger. C'était inconfortable, légèrement gênant même. Mais je ne doutais pas que le plaisir viendrait bien assez tôt. Lui semblait aimer, je le remarquais à ses sourcils froncés et son regard brillant. Je déposais un baiser sur sa bouche, alors qu'il continuait son mouvement lent, puis accélérant légèrement. Un premier frisson s'empara de mon être, je me décontractais petit à petit afin de l'accueillir avec plus d'aisance et de liberté. bientôt, mes propres soupirs se joignirent à ses grognements. Nous étions en parfaite symbiose et je ne regrettais rien. Il accéléra une nouvelle fois, se permettant un mouvement plus brusque et puissant, nous faisant gémir simultanément et il recommença, se permettant lui aussi plus de fougue.

Je n'étais pas trop causant des les moments d'intimité, même si pour une première fois, j'aurais pu lui parler pour décontracter la chose. Seulement, je n'y avais songé qu'après. Les vibrations de son antre se firent plus agréable, ses parois se décontractèrent même au fur et à mesure où je me faisais une place en elle, elle était si belle ainsi donnée à moi et moi seule. Si je ne me connaissais pas aussi bien, je me serais pris à penser que j'étais jaloux dans l'instant. continuant ma danse, je ne pouvais que prendre un plaisir fou, elle était si étroite que mon propre plaisir ne tarderait pas à trouver sa voie. Plus elle gémissait sous mes coups de reins et plus j'avais envie de l'entendre pousser des soupires et cris même. On ne dit pas assez aux femmes que leurs cris sont comme une réussite et un plaisir pour nous, que cela accroit notre fougue et nous donne des envies plus poussées.
je pris appui sur mes mains, de chaque côté de son visage poupon, mais pourtant si femme et alors que j'allais encore accélérer, elle me mordilla la pointe de mon téton et je décollais bien malgré moi, sous la surprise d'une caresse qui était ma faiblesse. Essoufflé, et pas satisfait de n'avoir pas pu durer de trop, je la regardais avec un sourire navré.

Le plaisir était là, je répondais à chacun de ses mouvements. Je savais que je n'allais pas être jugée, aussi, je me permis une caresse sur lui-même lorsqu'il mit à ma portée, son torse. Mordillant ses tétons, je voulais moi aussi lui donner du plaisir si bien que je fus surprise de le voir se raidir au dessus de moi, trembler en accélérant ses coups de reins pour grogner et s'arrêter. Il avait joui, comme moi précédemment avec son doigt assassin. Étirant un sourire, et il sortit de moi et s'allongea sur le dos. Je tournais mon visage vers lui, un sourire sur les lèvres sans pouvoir le retenir. J'étais heureuse, j'étais enfin avec lui et en plus de ça, je lui avais offert mes premiers moments en tant que femmes. Me glissant contre lui, je soufflais à son oreille les trois mots que j'aimais tant, mordillant celle-ci. Et après, quelques minutes à reprendre notre souffle, je retournais sur son torse pour l'embrasser et lorsqu'une nouvelle fois, je me permis un mordillement sur son téton, je compris que c'était un lieu sensible puisqu'on recommença notre ébat avec plus de force et de virulence. Si bien que j'eus un orgasme la seconde fois, et non provoqué par son doigt.